idées reçues et erreurs en e-réputation 1/5

D’après l’article  traité par  Dominique Fevre, le 23/01/2013 dans les brèves de marketing.fr, suivant Christophe Asselin (Digimind)

Je ne résiste pas à l’envie de vous faire partager cette réflexion sur l’e-réputation ;

Nous, consommateurs moyens d’internet et de réseaux sociaux, mélangeons allégrement capacité à agir sur sa net-réputation, avec la faculté à avoir des profils sociaux ou la création de profil numérique…. En effet, il est difficile de démêler les influences dans l’écheveau du net, tant il est vrai que toutes les étapes de la communication -de la création du profil internet à sa valorisation (marketing et entretien) avec le contrôle de sa réputation (veille et contrôle des objectifs)- influencent sa e-réputation (résultat de notre communication)

La 1ère idée reçue est qu’il suffit de créer un site internet (à moindres frais) pour exister valablement sur le net. Pour les entreprises en panne de communication, monnayer cette prestation à bas coûts (immédiats !) est “monnaie” courante… sans intégrer cette prestation dans la stratégie de communication :

Quelle sont les valeurs de l’entreprise ? Quel est son message ? Quelle est sa différence ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Puis quels sont ses objectifs ? Long terme, moyen, court terme ?

Du diagnostic stratégique découlera la stratégie de communication APRES avoir positionné sa stratégie globale : cela demande peut être d’investir un peu de temps … et d’argent mais que de temps et d’argent économisés au final !

L’e-réputation d’une entreprise (ou d’un particulier) est bien la conséquence d’une stratégie appliquée, avec analyse de risques, suivi d’image numérique (veille)… qui est décidée, pilotée, suivie au plus haut niveau par ses dirigeants

Le suivi de réputation doit rester le domaine de la direction

Réputation d’entreprise : la veille est indispensable

Le nouvel enjeu de réputation pour les entreprises

De l’article paru  dans le Cercle.lesEchos le 22/01/2013, résumé et analyse.

C’était plus simple avant !

“Autrefois, il fallait que les grandes entreprises préservent à tout prix leur réputation : elles déployaient des efforts significatifs en terme d’événementiels, de relations presse, de lobbying… Elles choyaient leur actionnariat et les politiques.”

“Toutes les entreprises sont désormais confrontées à un enjeu d’un nouveau genre : préserver sa réputation sur les réseaux sociaux. Avec plus ou moins de réussite”

Le constat de conscience :  Lire la suite